Un plat ou aliment « plaisir coupable » :
le poisson

 

Ayant eu longtemps une relation très compliquée avec la nourriture, je ne regrette pas de craquer pour un bout de chocolat ou une sucrerie de temps en temps, même après un gros repas. Les frustrations ayant été source de bien trop de soucis par le passé, j’estime que je peux manger ce que je veux, quand je le veux si j’en ai besoin. Tant pis pour la sacro-sainte balance ou le taux de cholestérol !

La notion de plaisir coupable a pris un sens tout nouveau ces derniers mois. Faire une croix sur la viande est presque un soulagement. Abandonner le poisson est plus difficile. Parce que ma famille ne saurait plus comment me nourrir quand je lui rend visite et parce que j’aime beaucoup ça.

Du coup, les quelques occasions où je trouve du poisson dans mon assiette me font culpabiliser. Pardon petites âmes bulleuses innocentes !

Crédit photo : Krzysztof Puszczyński – Dinner surTookapic